Il fait trop beau pour travailler... (et pourtant je "travaille" !)
c'est une chanson que chantaient... euh... "Les Parisiennes" euh... en 1964.
À ce propos, lorsque j'ai débuté à Paris... (et terminé en Alsace comme chacun sait !)
Y a la rue qu'est maboule
Jolie môme...
Ça nous arrive une fois seulement
(et elle avait raison, comme toujours...
Une authentique normande de la région
de Balleroy)
°°°°
Francis (Lemarque) lui marquait son temps par:
(et elle avait raison, comme toujours...
Une authentique normande de la région
de Balleroy)
°°°°
Francis (Lemarque) lui marquait son temps par:
Ce jour-là au bois de Chaville
Y avait du muguet
Si ma mémoire est docile
C'était au mois de mai.
Au mois de mai dit le proverbe:
"Fais ce qu'il te plaît"
On s'est allongé sur l'herbe,
Et c'est ce qu'on a fait
Comme nous étions sous les branches
bien dissimulés
Samedi Soir et France Dimanche
N'en ont pas parlé
°°°°°°°
°°°°°°°
Les disques posés sur les tourne-disques dans tous les foyers, les chansons de la môme Piaf animaient les rues par les fenêtres ouvertes et tout le monde chantait:
Padam ! Padam !...
Non, rien de rien, Non, je ne regrette rien...
Il était beau, il sentait bon le sable chaud, mon Légionnaire...
Et moi, et moi... ? Je chantais Paris !!
Paris c'est une blonde, Paris Reine du monde...
Paris c'est une blonde, Paris Reine du monde...
J'aime flâner sur les grands Boulevards...
il y a tant de choses, tant de choses à voir
il y a tant de choses, tant de choses à voir
Sous le ciel de Paris, j'entends une chanson, oh ! oh !....
Un gamin d'Paris, c'est tout un poème...
°°°°°
°°°°°
La lune trop blême
Pose un diadème
Sur tes cheveux roux
La lune trop rousse
De gloire éclabousse
Ton jupon plein d'trous.
°°°°°
Pose un diadème
Sur tes cheveux roux
La lune trop rousse
De gloire éclabousse
Ton jupon plein d'trous.
°°°°°
Ma mère écoutait Mario Lanza à la T.S.F.
Ô sole mio !
Santa Luci i a...
Torna a surrienta...
et le fameux:
Granada...
Puis vint Guy Béart avec:
Il n'y a plus d'après à Saint Germain des prés...
et Juliette encore:
Accordé... accordé... accordéon...
(une très belle valse entraînante)
Et Bécaud ne l'oublions pas...
Quand tu danses, danses, danses devant moi
Le dimanche à Orly...
et aussi Enrico venu de son Algérie natale:
vint nous donner la leçon... avec son accent...
et Paris m'a pris dans ses bras...
Aznavour arriva avec:
J'aime Paris au mois de mai... 1965
Et Dutronc alors ? avec son air nonchalant
nous entraînait dans Paris:
Il est 5 heures Paris s'éveille !
mais lui ne s'est réveillé qu'à midi ! à moins qu'il ne soit rentré d'une soirée "en chantée"
Et puis Joe vint se promener sur les Champs et cela changeait tout:
Aux Champs-Élysées... aux Champs-Élysées...
En 1970, Léo n'aimait plus Paris, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs,
une déception amoureuse, peut-être ?...
En 1972, j'ai adoré Dutronc avec:
C'était un petit jardin
Qui sentait bon le Métropolitain
Il sentait bon le Bassin Parisien...
Et Serge avec ses petites femmes:
Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle...
Puis vint la fin de ces 30 Glorieuses avec le choc pétrolier et, du coup,
il y a aussi eu, moins de chansons sur Paris...
PS - Les Photos ont été glanées sur la toile... sauf celle de la Grand-mère (rires) Rolka
Ô sole mio !
Santa Luci i a...
Torna a surrienta...
et le fameux:
Granada...
Puis vint Guy Béart avec:
Il n'y a plus d'après à Saint Germain des prés...
et Juliette encore:
Accordé... accordé... accordéon...
(une très belle valse entraînante)
Et Bécaud ne l'oublions pas...
Quand tu danses, danses, danses devant moi
Le dimanche à Orly...
et aussi Enrico venu de son Algérie natale:
vint nous donner la leçon... avec son accent...
et Paris m'a pris dans ses bras...
Aznavour arriva avec:
J'aime Paris au mois de mai... 1965
Et Dutronc alors ? avec son air nonchalant
nous entraînait dans Paris:
Il est 5 heures Paris s'éveille !
mais lui ne s'est réveillé qu'à midi ! à moins qu'il ne soit rentré d'une soirée "en chantée"
Et puis Joe vint se promener sur les Champs et cela changeait tout:
En 1970, Léo n'aimait plus Paris, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs,
une déception amoureuse, peut-être ?...
En 1972, j'ai adoré Dutronc avec:
C'était un petit jardin
Qui sentait bon le Métropolitain
Il sentait bon le Bassin Parisien...
Et Serge avec ses petites femmes:
Je m'en vais voir les p'tites femmes de Pigalle...
Puis vint la fin de ces 30 Glorieuses avec le choc pétrolier et, du coup,
il y a aussi eu, moins de chansons sur Paris...
PS - Les Photos ont été glanées sur la toile... sauf celle de la Grand-mère (rires) Rolka
Fredonner en regardant les photos et en lisant les commentaires, c'est très sympa !!!
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